Fais attention: elle plaisante souvent.

(Cet article est dédicacé à ma soeur. Parce qu’elle ne s’en plaint pas, non non, mais « s’étonne » que je ne parle pas plus souvent d’elle ici « étant donné que c’est (elle) qui a majoritairement  façonné (mon) cerveau d’enfant » Dont acte)

J’aimerais vous dire que si je ne suis pas foutue d’écrire des posts plus souvent -malgré mes bonnes résolutions bi-hebdomadaires- c’est que je suis complètement overbookée. Mais mes 2,5 lecteurs réguliers sauraient que je mens. Et ne serait-ce que vis-à-vis de moi-même, je n’oserais pas. En effet, le bilan de ma semaine se résume pour l’instant à:

– avoir failli pleurer devant un épisode de Glee, puis franchement ri, puis m’être demandé lequel des deux états était le plus pathétique.

– avoir contemplé longuement mon traitement de texte en calculant les probabilités qu’une lettre de motivation s’écrive toute seule.

– avoir regardé défiler les chiffres en cristaux liquides oranges de ma nouvelle box pendant 71 minutes d’affilé, tout en imaginant ce qui pourrait être la pire douche écossaise de ma vie, dans un processus passionnant appelé « fascination du pire ».

– relu des textes écrits pendant la période la plus sombre de ma vie sentimentale.

– avoir pris une photo de moi chaque matin au réveil pour fêter la qualité d’image de mon Iphone et l’incroyable créativité de mes cheveux. (ceci rentre aussi dans la catégorie « fascination du pire »)

voler la photo d'un bébé inconnu sur Google: check

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